Comment une femme enceinte doit se nourrir ?
Dernière mise à jour : 14 juin 2023
L'alimentation de la femme enceinte est crucial
L'alimentation est un élément clé influençant la fertilité, la conception et le bon développent embryonnaire puis foetal.
Les carences en micronutriments peuvent être la cause de problèmes du systèmes reproducteur allant de l'infertilité à certaines complications de la grossesse et pouvant entraîner une fatigue important après l'accouchement.
De nombreuses mamans entament une grossesse avant une état nutritionnel non optimal. Une supplémentation est souvent nécessaire pour éviter les carences nutritionnelles.
Que peut manger une femme enceinte ?
Favoriser la qualité des aliments frais, colorés, de production locale et de saison
Préférer les huiles vierges de premières pression à froid
Augmenter la consommation de fruits et légumes, céréales complètes et légumineuses
Consommer des fibres, des protéines, des oignons, de de la cannelle pour limiter les pics d'insuline
Buvez de l'eau jusqu'à 1.5 l à 2 l
Augmenter les apports en fer
Eviter les index glycémiques élevés
Quel complément alimentaire favoriser lorsqu'on est enceinte ?
ERGYNATAL LABORATOIRE NUTERGIA EN PHARMACIE
En cas de fatigue, la prise d'un complexe de vitamines et minéraux comme Ergynatal est conseillée
2 gélules par jour au cours du repas.
Pendant la grossesse, le pH basique du liquide amniotique permet au bébé d’éliminer ses acides métaboliques. Pour maintenir ce pH la maman doit puiser dans ses réserves minérales. Or on observe souvent des réserves tampons limitées dès le début de la grossesse. On évitera alors les aliments acides, acidifiants.
OLIGOMAX FER LABORATOIRE NUTERGIA EN PHARMACIE
Chez la femme enceinte ou allaitante, le fer contribue au développement cognitif normal des enfants. Il participe à la formation normale de globules rouges et d’hémoglobine, ainsi qu’au transport de l’oxygène dans l’organisme.
5 ml par jour dans ½ verre d'eau, en dehors des repas
ERGY 3 LABORATOIRE NUTERGIA EN PHARMACIE
L'apport d'acides gras essentiels est fondamental pour apporter plus de souplesse aux tissus maternels et pour assurer le bon développement du fœtus et du nourrisson. En effet l’accumulation des acides gras polyinsaturés commence par les oméga 6 –en particulier l’acide arachidonique- puis c’est au tour des oméga 3 qui s’incorporent dans les tissus nerveux du fœtus dès la seconde moitié de la grossesse ; cette incorporation devient considérable au 3ème trimestre. L’apport de ces acides gras au fœtus est assuré par transfert placentaire, conditionné par leur présence dans l’alimentation maternelle. Or des études d’enquête alimentaire montrent que la consommation en AGPI oméga 3 est insuffisante pour la plupart des femmes enceintes européennes et sont inférieures à la quantité accumulée au quotidien par le fœtus.
2 capsules par jour au cours des repas
APRES L'ACCOUCHEMENT
LAIT MATERNEL A savoir : le lait maternel contient toujours de l’acide arachidonique AA et du DHA. La concentration en AA est relativement constante d’une femme à l’autre alors que les concentrations en DHA varient avec l’alimentation de la mère. L’apport en DHA de l’enfant allaité est donc dépendant de la consommation maternelle d’aliments riches en cet acide gras ! Cet apport post-natal est essentiel pour le développement neurologique et visuel pendant les premiers mois de la vie. Consommer des poissons gras (2 fois par semaine) et alterner pour les assaisonnements l'huile de colza et l'huile d'olive vierges première pression à froid. Pendant l’allaitement, prendre à nouveau des acides gras essentiels EPA/DHA (ERGY3), pour permettre le développement optimum de l’enfant.
EN RÉSUMÉ équilibrer lipides, glucides, protéines
éviter les carences
veiller à bien laver fruits et légumes
limiter à 1 fois/j les aliments à base de soja
au moins 2 fois/semaine consommer du poisson dont au moins un petit poisson gras
veiller à bien cuire poissons et viandes
limiter la consommation de sel et produits salés
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